Résultats de l’Assemblée Générale Extraordinaire du 18 juin 2025
À la suite des résultats de l’Assemblée Générale Extraordinaire du 18 juin 2025, une nouvelle page s’ouvre pour l’USMT. (Ci-joint les résultats)
À compter du 1er septembre 2025, notre club historique débute une importante évolution structurelle.
Les sections sportives seront désormais des associations indépendantes, tout en restant affiliées à la structure mère « USMT 1928 ».
Sont concernées par cette nouvelle organisation les disciplines suivantes :
Aviron, badminton, basket, canoë, cyclotourisme,
école de sports, hockey sur gazon, plongée, montagne et randonnée,
judo, ski, tennis, tennis de table, tir, tir à l’arc,
pentathlon, volley, yoga et sports de combat.
En revanche, les sections athlétisme, football et pelote basque prendront leur indépendance complète et ne seront plus rattachées à l’USMT.
Restons unis et confiants. Regardons ensemble vers l’avenir.
FAQ future réforme de L'US METRO
Vous vous posez des questions concernant la future réforme de L’US METRO ?
Nous y répondons ici
Parce que la fin du soutien de la RATP (mise à disposition gratuite et subventions) a provoqué une situation financière critique. Le statu quo n’est plus tenable.
Non. Le projet propose une transformation, pas une disparition. Il permet à chaque section de devenir une association autonome tout en conservant un lien fédérateur sous l’ombrelle USMT.
Les personnes qui votent au sein de l’us metro sont les mandataires élus par les sections et activités.
Le vote se fera en ligne par mail.
Tous les documents afférents et conformes à la tenue de l’AGE ont été transmis à la fois aux responsables , mandataires , mais aussi aux adhérents .
Les documents sont également disponibles sur le site internet du club et une FAQ a été mise en disposition pour les adhérents .
Si vous voulez que votre avis soit pris en compte, merci de vous rapprocher de vos représentants.
Les mandataires recevront un mail avec identifiant et mot de passe et voteront conformément à l’ordre du jour de l’AGE
les résultats et le PV sera transmis ensuite et ce sont les assesseurs membres de la commission des élections qui en seront en charge.
Le résultat sera porté à la connaissance de tous les adhérents.
Certaines pourraient décider de ne pas poursuivre dans le nouveau cadre, mais l’objectif est au contraire de donner les moyens à toutes de continuer, avec une plus grande responsabilité.
Votre affirmation est fausse. La note qui vous a été diffusée vous donne les éléments économiques :
• C’est vrai que les Sports de Combat, comme tous les autres pratiques sportives de Paris et Joinville, ne sont pas assurées de leur survie, selon les décisions que prendra la RATP, dans la fixation des loyers et charges locatives qu’elle veut imposer. Contrairement à vos affirmations, c’est peut-être l’activité sportive qui peut le mieux payer un loyer à la RATP, … mais ça ne garantit pas qu’on trouvera un accord.
• Les autres pratiques sportives, à Antony comme celles qui sont « hors site », ont également des difficultés pour couvrir leurs dépenses par leurs recettes.
• Au-delà des aléas de la négociation immobilière avec la RATP, pour pérenniser l’activité sportive, il va falloir faire d’importants efforts d’augmentations des recettes, de diminution des dépenses. De nombreux présidents de section nous ont dit pouvoir y arriver !
• Il faut donc leur donner les meilleures chances : ils deviennent maîtres de leur destin, l’USMT conserve toutes les dettes du passé et d’aujourd’hui, et la constitution en associations indépendantes entre elles va permettre que si une échoue, elle n’entraine pas les autres dans sa chute.
Si les Sports de Combat sont une pratique sportive en vogue, pouvant sans doute avoir de meilleurs résultats que d’autres, les changements que la RATP impose bouleversent tout ! En réclamant un loyer très élevé sur le site de Bizot, la RATP accapare tout le résultat de cette pratique sportive, et Sports de Combat (qui est déjà en risque en ne pouvant pas payer totalement son loyer) ne dispose d’aucun moyen pour aider les autres pratiques sportives.
Vous avez raison, depuis près d’un siècle, l’USMT a porté les valeurs d’entraide et de solidarité. Mais n’oubliez pas que l’USMT était fortement aidée par la RATP et le CSEC, ce qui nous conduisait à apporter ces aides principalement aux pratiques sportives les plus fragiles. Mais tout a changé ! La RATP ne nous aide pas, et en facturant les sites qu’elle possède et que nous utilisons, elle nous prend le peu de richesse que nous pourrions utiliser à des actions solidaires. Il nous faut réapprendre la solidarité et l’entraide, non seulement en recevant, mais aussi en donnant ! Et ce n’est pas facile, quand on est habitué à recevoir sans donner, et/ou quand on a déjà du mal à boucler son budget !
il ne nous a jamais été possible de connaître les engagements qui auraient été pris entre la RATP et la ville d’Antony, lors de la vente du site. Ce que nous comprenons, c’est que la ville d’Antony est attachée à l’USMT, désireuse de montrer qu’elle est un partenaire fiable de l’US Métro quand nous fêterons le centenaire. Nous savons aussi qu’elle traite les pratiques sportives de l’USMT aussi bien que toutes les autres associations antoniennes. Nous avons également compris que la mise à disposition annuelle reconductible qu’elle propose à nos structures, comme aux autres associations, ne doit pas être comprise comme un risque de « précarité », mais comme un mode logique de partenariat ville-association, à faire vivre dans la durée.
il ne nous a jamais été possible de connaître les engagements qui auraient été pris entre la RATP et la ville d’Antony, lors de la vente du site. Ce que nous comprenons, c’est que la ville d’Antony est attachée à l’USMT, désireuse de montrer qu’elle est un partenaire fiable de l’US Métro quand nous fêterons le centenaire. Nous savons aussi qu’elle traite les pratiques sportives de l’USMT aussi bien que toutes les autres associations antoniennes. Nous avons également compris que la mise à disposition annuelle reconductible qu’elle propose à nos structures, comme aux autres associations, ne doit pas être comprise comme un risque de « précarité », mais comme un mode logique de partenariat ville-association, à faire vivre dans la durée.
l’objectif majeur du protocole de conciliation est de trouver une solution permettant la pérennisation de la pratique sportive, donc de ce qui fait l’essence même de l’USMT. Le projet soumis au vote de l’AGE n’est pas un démantèlement, dans la mesure où il s’attache à maintenir un lien entre les nouvelles associations (ex sections ou activités), tout en veillant à ce que la faiblesse de certains n’entraîne la chute de tous les autres. Il est clair que la responsabilisation de chacune des pratiques sportives, et la simplification de la gouvernance, vont dans le sens des demandes du tribunal.
Vous avez raison de dire que tous les matériels sportifs possédés par l’USMT ont bien été payés par l’association, ce qui est vrai pour tous les sports, et pas seulement par Bizot. L’USMT, dans sa forme future, n’aura plus aucune activité de pratique sportive. Quelle serait l’utilité, pour l’US Métro 1928, de conserver les ballons de foot, les kayaks, les tatamis, les armes, … ?. La vocation de l’US Métro 1928 est d’aider et soutenir les associations affiliées, et dans ce cadre, plutôt que de promettre de l’argent, alors que le club est en manque de trésorerie, il vaut mieux aider les nouvelles associations en leur remettant gracieusement des équipements sportifs dont elle n’aura plus l’usage.
C’est un fait que ce don des équipements sportifs n’a pas la même valeur, selon les sports ! Montagne & Randonnée ne va pas « recevoir grand-chose », en comparaison de Sports de Combat, Escrime ou Tir sportif ! Mais on peut aussi constater que par les résultats positifs qu’ils apportent au club, certains sports ont largement compensé la valeur des matériels sportifs qu’ils utilisent.
Une fois que l’AGE aura validé le projet de modification statutaire, l’USMT verra ses statuts être modifiés avec date d’effet au 1er septembre 2025. A cette date les sections disparaîtront car ne faisant plus partie de la structure de l’USMT. Il n’y a rien de particulier à faire.
C’est à ce titre qu’il est important que les nouvelles associations soient créées à cette date, ne serait-ce que pour éviter un « vide », que ce soit vis à vis des adhérents, pour justifier notre utilisation des équipements sportifs, …
Ces informations sont fausses ! Aujourd’hui, l’USMT n’a que 7 salariés, 2 administratifs et 5 éducateurs sportifs. UN précédent plan social a réduit l’effectif, et la plupart des éducateurs sportifs utilisent le statut d’autoentrepreneurs.
Dans une opération qui peut être vue comme une scission (l’USMT se sépare d’une activité sportive, une nouvelle association reprenant cette activité), les contrats de travail sont normalement transférés, mais nous préférons inviter les intéressés décider s’ils acceptent ou non ce transfert ; ceux qui refuseront ce transfert seront intégrés dans le PSE (plan social), et il ne restera plus aucun salarié à l’US Métro 1928.
Chaque nouvelle association reste libre de fixer ses cotisations, de gérer ses budgets, tout en bénéficiant des équipements transférés sans dette.
Autrefois, la RATP vous aidait. Aujourd’hui, c’est fini ! Et vous savez que les autres pratiques sportives n’ont pas les moyens (le voudraient elles ?) de remplacer la RATP ! Ne pouvant inventer des ressources que nous n’avons pas, nous ne pouvons que vous invitez à revoir en profondeur votre modèle économique pour devenir « auto-suffisant », condition sans doute indispensable à votre pérennité.
Bien entendu, nous avons perçu ce risque, et c’est pour cette raison que nous prévoyons une structure très légère, 100% bénévole, porteuse de nos valeurs, mais « sans compter ni facturer ». Nous avons également bien pris note du rejet très majoritaire des sections, au regard d’un partage des moyens. Laissons donc chaque nouvelle association s’organiser à sa guise, et si, à l’expérience, certaines de ces associations veulent en définitive « partager des ressources », il sera essentiel que ce soit volontaire et librement consenti
L’USMT resterait sous sa forme actuelle, mais le déficit serait insoutenable (> 1 million €), avec un risque réel de cessation d’activité à court terme.
Vous avez raison, transformer les sections en associations n’a jamais rapporté un centime. Mais l’objectif est de donner à chacun la possibilité d’être maître de son destin, et pour les pratiques sportives qui disent pouvoir y arriver, de leur donner leurs meilleures chances :
• En conservant à l’USMT toutes les dettes du passé et du présent
• En évitant l’effet « château de cartes » : il ne faut pas que des pratiques sportives qui arrivent à s’en sortir, ne chutent, parce qu’une autre pratique sportive, en échouant, entraîne tout le monde dans sa chute
Nous avons travaillé plusieurs mois, avec certains de vos dirigeants au sein du Comité Stratégique, pour trouver d’autres solutions, et regrettons vivement que certains dirigeants, opposés à nos propositions, ne nous aient pas proposé d’autres solutions !
En fait si, il y a trois solutions, l’une s’impose à nous, votre choix à l’AGE permettra de retenir l’une des deux restantes :
• La solution qui s’impose : l’USMT éclate, partiellement ou totalement, des sections faisant savoir qu’elles se constituent en association, en coupant tous les liens avec l’USMT. C’est déjà le cas pour trois sections sportives ! pelote /athlétisme et foot à ce jour. Au titre de la liberté d’association, nous n’avons rien à dire, que cette solution nous plaise ou non
• Les deux solutions qui restent : le projet que nous vous proposons, et s’il est rejeté, le statu quo et dans quelques mois liquidation judiciaire du club dans sa globalité , sections comprises.
Vous avez raison, la RATP nous a versé une somme assez importante récemment. Mais deux éléments ne permettent pas le scénario que vous évoquez :
• Ces sommes ont été versées sous certaines conditions auxquelles nous nous sommes engagés, limitant leur usage aux dépenses exceptionnelles, et aux actions à conduire pour assurer la pérennité de l’association. Utiliser ce montant seulement pour vivre quelques mois de plus est donc contraire aux engagements pris
• En prenant les dépenses exceptionnelles, la pris en charge des dettes passées et actuelles, la somme est déjà largement consommée, et de laisse que quelques maigres marges pour pérenniser la pratique sportive. Ce n’est pas un an, mais quelques semaines, quelques petits mois de répit qui seraient en jeu
Au-delà de ces deux arguments défavorables, nous continuons à œuvrer pour maintenir la pratique sportive, durablement, sur le plus grand nombre des sports que nous pratiquons. Et nous sommes convaincus que cet objectif est bien supérieur à une survie collective de quelques mois …
AGE ne veut pas dire AG express, mais AG extraordinaire.
AGE ne veut pas dire AG express, mais AG extraordinaire.
Au-delà du caractère diffamatoire de ces propos, qui peuvent relever de poursuites en justice, les réponses précédentes montrent qu’il n’y a pas de démantèlement du club, mais au contraire une évolution de sa structuration pour concrétiser l’autonomie que les sections réclament de longue date, et affirmer leur responsabilisation.
Il n’y a pas non plus de plan social total, les salariés étant consulté pour que chacun puisse dire s’il souhaite ou non être transféré sur la nouvelle association correspondant à la section où il travaille, ce qui montre notre souci de ne pas provoquer des dégâts sociaux supplémentaires,
Il n’y a pas de confiscation du matériel ou de la trésorerie, mais des dispositions proposées, visant à aider au maximum les nouvelles associations, et ainsi assurer au mieux le maintien de la pratique sportive.
Pour les adhérents, non, il n’y aura pas de cotisation à payer. Pour la nouvelle association, la cotisation d’affiliation pour l’instant est nulle, pour les trois ans à venir. S’il est décidé ultérieurement de fixer une cotisation non nulle, elle sera de toute façon modeste, voire symbolique.
Pour les adhérents, non, il n’y aura pas de cotisation à payer. Pour la nouvelle association, la cotisation d’affiliation pour l’instant est nulle, pour les trois ans à venir. S’il est décidé ultérieurement de fixer une cotisation non nulle, elle sera de toute façon modeste, voire symbolique.
Pour les adhérents, non, il n’y aura pas de cotisation à payer. Pour la nouvelle association, la cotisation d’affiliation pour l’instant est nulle, pour les trois ans à venir. S’il est décidé ultérieurement de fixer une cotisation non nulle, elle sera de toute façon modeste, voire symbolique.
Si certains préconisent, au vu des risques encourus, de tout laisser tomber, heureusement que d’autres travaillent, étape après étape, à construire un avenir !
Reposons la question dans des termes simples : Quand il existe deux risques de devoir disparaître (la situation économique, et la négociation immobilière avec la RATP), faut-il renoncer à écarter un des deux risques, au prétexte que le second risque subsiste ? La réponse est bien évidemment NON.
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